Du cinéma iranien, Abbas Kiarostami est sans doute l’une des figures les plus connues. Le Centre Pompidou à Paris lui offre d’ailleurs une rétrospective intégrale jusqu’au 26 juillet. Ce cinéma, un des plus fertiles au monde, n’hésite pas à traiter d’affaires culturelles, sociales ou politiques très contemporaines. Pour donner à voir ce pays et la richesse de sa production cinématographique, le festival Cinéma(s) d’Iran ouvre mercredi 23 juin sa huitième édition (il s’achèvera le mardi 29 juin) au Nouvel Odéon, 6 rue de l’École de médecine, à Paris. Une édition sans la présence des réalisateurs cette année, mais qui propose plus de vingt films de fiction, documentaires et courts métrages. PAR LE FESTIVAL CINÉMA(S) D’IRAN & MEDIAPART
Mediapart s’y associe de nouveau en diffusant plusieurs courts métrages.
Aujourd’hui, Tattoo réalisé par Farhad Delaram en 2019. Lors d’un examen de routine pour renouveler son permis de conduire, une cicatrice et un tatouage plongent une jeune Iranienne dans une situation inextricable…
Court métrage iranien (1/3): « Tattoo » | Documentaires | Mediapart
Le site du festival Cinéma(s) d'Iran est ici. Et toute la programmation détaillée, là.